BOU TAZOULT EN 1948 - EXTRACTION DU MINERAI (1)

L'EXTRACTION DU MINERAI EN 1948 : LA MINE

Nous reprenons la parution de la série des photographies prises en 1948 ( que nous avions  suspendue le 12 février).   Elle est particulièrement intéressante car elle montre les mineurs travaillant à l'intérieur des galeries; des documents que les anciens iminiens n'avaient pas eu l'occasion de voir. Peut être que certains d'entre nous reconnaîtront des visages connus. D'autres nous dirons le travail avec le pic, la pelle, le marteau pneumatique,  les étais, ce qu'est le foudroyage et le boisage en mémoire de tous ceux qui ont fait à Imini un travail risqué pour que vive ce beau village. 

ENTRÉE DE LA MINE (GALERIE DE 40)

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UN CHANTIER AU TRAVAIL

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"La personne torse nu, à gauche de la photo, n'est autre que notre ami à tous, BÉLAÏD, un grand gaillard très jovial et plein de bonté." (Voir ci-dessous la suite du commentaire de JM Decailloz ainsi que les autres commentaires sur différentes personnalités de la mine.)

LE FOUDROYAGE

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BOISEURS AU TRAVAIL

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Écrire des souvenirs dans les commentaires pour garder la mémoire du passé et de ceux qui l'ont fait.

Comments

[bahtiti mohammed]

je constate que personne ne parle du puit n°6 ou de boulgir qui existait bien avant tighermine ou timkkit.à lépoque ce ne sont que des gourbis situé au flan de la montagne. Pour le marché il faut venir jusq'au village.

ou alors parler de boutarmante oasis situé à 5 ou 6 kilometre ou on se baigner avant l'existance de la piscine du village ou tighermine.

je signale à J.Yves que Kacem etait dans notre classe et il a travaillé dans une usine de carton à Kenitra je l'ai revu recemment à kenitra.

[Bou Tazoult]

Bonjour à Kafayeur qui visite bien le blog et merci de participer à la correction et au démêlage de mes souvenirs. Il serait dommage de ne conserver que des impressions vagues et des erreurs dans les souvenirs. Peut-être aurai-je envie un jour d'écrire mes Mémoires? Non ça m'étonnerai. Mais en fin d'activité le besoin est souvent ressenti de faire ce retour en arrière. Que léguer à nos enfants si ce n'est cette branche sur laquelle nous vivons depuis longtemps et ce témognage de l'histoire qui fut la nôtre et devient la leur.?La roue perpétuelle.
Ainsi Kassem (de son vrai prénom Abdelkader) n'a pas travaillé à l'infirmerie. Lui avait un rire tonnitruant et bien sonore. Il était parti travailler dans une usine sucrière (?), n'est-ce pas?
Dzaguisse, j'ai eu l'occasion de le revoir il y a une dizaine d'années lors d'un passage à Imini, avant qu'il ne se réfugie dans la région de Ouarzazate. Toujours le même: plaisantin, humoristique,voire même sarcastique. Il n'avait pas changé physiquement.
Hama Ider, au contraire plus réservé, une moustache fine si je me rappelle bien.
Chacun des trois a laissé son empreinte.

[bahtiti mohammed]

tabouzit abdelkader n'a jamais travaillé à l'infirmerie tu cofond avec deux de mascamarades de classe, dzaguisse et hama ider.
tabouzite à travaillé à la mine comme tourneur à l'atelier avant de partir à Kénitra. sa maman, Touda, travaillait à la cantine de l'école avec Mr Romano.

[Bou Tazoult]

Ce gaillard de Belaïd, qu'est-il devenu? En dehors de cette période du fond, n'a-t il pas fait autre chose? Je garde un souvenir confus d'un homme toujours enjoué, rieur. Est-ce que je me trompe? Je garde également le souvenir de Kassem TABOUZIT, qui avait le même caractère, mais qui devait travailler à l'infirmerie. Non? Maintenant retiré à Kenitra, et pas très en forme. Merci de nous raviver la mémoire sur ces personnes.

[J-M Décailloz]

La personne torse nu, à gauche de la photo, n'est autre que notre ami à tous, Bélaïd, un grand gaillard très jovial et plein de bonté.
On disait qu'il était descendant d'esclaves parce qu'il portait un anneau à son oreille, que l'on voit d'ailleurs sur la photo.