Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
BOUTAZOULT IMINI TIMKKIT 2008
Archives
Derniers commentaires
21 février 2011

SOUVENIRS À PLUSIEURS DU VILLAGE DE BOUTAZOULT

LES ANCIENS HABITANTS DES MAISONS DE BOUTAZOULT

1COTTIN_TRAMOY

© Photo J-Y Tramoy Boutazoult endormi avec la chaîne enneigée de l'Atlas. Au loin le bordj militaire, le carreau de la mine, le village indigène et la kissaria. Devant à gauche la villa des Cottin, à droite les villas successives des Tramoy et en contrebas celles des Decailloz et des Wojciekowsky.

Avertissement de Jean-Yves Tramoy : Ce récit, contrairement aux précédents, s'écrit au présent pour souligner l'acuité des souvenirs dans nos têtes. Ce texte a été écrit à quatre, six ou huit mains, parce que j'ai souhaité éviter les erreurs dues à de fausses interprétations ou à la faillite d'une mémoire idéalisée de la jeunesse associée à celle défaillante de maintenant. Je remercie Joseline et Jean-Marie Decailloz et Mammie Paulette d'avoir contribué à cette rédaction. Ils me (nous) font découvrir ou resurgir des noms que nous ignorions, des personnes qui sont passées à Bou Tazoult, qui ont laissé fatalement une empreinte, et que nous ne pouvons occulter sans raison. Certains ont des vies riches d'évènements, d'expériences, … et mériteraient de sortir de leur anonymat, de connaître une certaine notoriété.

Ce pèlerinage au coeur du village n'est pas aisé à décrire du fait de la topographie un peu complexe du terrain, et des « rues » qui épousent les collines. Il se veut un catalogue des maisons et de leurs occupants, de façon à mieux cerner l'urbanisation et la population, un prétexte à ce que l'un ou l'autre d'entre nous raconte des anecdotes ou rétablisse des vérités.

Jean-Marie a été d'un grand secours en apportant des précisions indispensables, qui vont au-delà du simple récit, et ses annotations sont écrites en italique. Un peu d'historique ne fait pas de mal. « Au village de BOU TAZOULT, les villas portaient un numéro attribué chronologiquement, suivant l’ordre de construction. Un plan du village avait été établi par le bureau d’études à cet effet ».Nous verrons plus loin que cela a son importance, et donne du relief à l'installation progressive des habitants. Sur ce sujet, Mammie Paulette est d'un grand secours, elle qui fut des pionniers. Nous avons tous un plan en tête, mais est-il vrai ? « Les villas ont eu successivement plusieurs locataires qui pouvaient aussi changer de logement pour un meilleur confort et d’espace, notamment les familles nombreuses. Avec les quelques 300 familles qui ont séjourné à IMINI, il nous est difficile, voire impossible, de nous souvenir où chacune a habité, mais (écrit Jean-Marie ) j'ai retrouvé dans mes archives personnelles une liste des affectations des logements datant de 1962. J'ai donc quelques numéros de villas et noms des habitants à cette date. Une certitude : l'origine du village tient dans l'édification de la première bâtisse.

« La villa n°1, où mes parents ont habité sur la placette que mon père dénommait, entre nous, place de France, a été la première construite en 1942 par un entrepreneur de Marrakech qui s’appelait De Soto. A cette époque, c’était la guerre en Europe, les restrictions existaient aussi au Maroc. Il n’y avait pas de ciment et les 2 ou 3 premières maisons ont été maçonnées en terre, le ciment était réservé pour les dalles et les crépis. La plupart des maisons étaient jumelles, quelques-unes individuelles aussi, mais toutes les villas des ingénieurs étaient individuelles. Mes parents ont habité cette maison n°1 de 1947 à 1963, année de leur départ en retraite, puis nous, jusqu’en 1971». Ainsi nous situons le coeur du village de BOU TAZOULT, ce qui n'est pas étonnant quand on connaît la placette en question, sur laquelle les maisons sont harmonieusement réparties. Tout au long du récit nous utilisons les connaissances de Jean-Marie, témoin privilégié dont la famille a vécu à BOU TAZOULT de 1947 jusqu'en 1991. Ainsi nous reprenons la liste des divers occupants successifs des maisons, sans les connaître tous. Que de noms, connus ou inconnus, poétiques ou populaires, chantants ou gutturaux, français, européens, marocains, … tous ont leur importance. La numérotation des villas permet de situer la progression de l'urbanisation et de la construction des maisons en fonction de l'arrivée des nouveaux employés et de leur famille.

Bou Tazoult 2ème épisode  

(le 1er épisode a été publié sur ce blog le 14 juillet, il a été précédé par une étape à Ouggoug (31 mai) et une autre à Timkkit (23 juin).  

On quitte ce quartier de l'école, en empruntant la seule « rue » existante, une piste terreuse serpentant jusqu'à la route goudronnée au niveau de la maison HORN (la n°5, précédemment CONTINI et TALON), maison faisant face à la route, dans laquelle Mr et Mme HORN abritent un vrai refuge pour chiens et chats. Est-ce exagéré d'annoncer plus de soixante animaux ? Les chats envahissent l'espace : la table de la cuisine, le rebord des fenêtres, toutes les pièces, … une forêt de chats, tandis que les chiens aboient et creusent la terre dans tous les coins du jardin, jouent à se bagarrer. Sans compter les nombreux volatiles dont nous allons quêter les œufs. Mme HORN travaille à l'infirmerie, et son mari, ancien prisonnier allemand,  à la centrale électrique.

La maison HORN coupe le village européen en deux parties : d'un côté un quartier réservé à l'habitat et à l'école, de l'autre un quartier davantage tourné vers les commerces et les activités sportives, et de ce fait plus développé que le précédent. La topographie change également. De ce côté, les habitations sont installées en terrasses à flanc de colline, épousant les courbes du terrain, avec des plantations d'arbres en grand nombre, souvent des takaouts (espèce de tamaris), des eucalyptus, quelques fruitiers, et toujours des roseaux pour clôturer les jardins. Le relief s'y prête, donnant l'impression d'un grand lotissement arboré serpentant le long des collines, dans lequel les propriétés sont assez vastes pour assurer une certaine intimité, et dont les toits en terrasse disparaissant en partie sous la végétation font croire à des parcelles encore plus étendues. Tous ces jardins sont fleuris, cultivés avec beaucoup de soin. Heureux mariage de l'ocre veiné de blanc de la terre avec celui des murs contrastant avec le vert sombre et poussiéreux des arbres, sur fond de lauriers roses en fleurs, de géraniums au rouge carmin, de rosiers variés et de roseaux aux tiges claires. Qui oserait penser que le laurier rose est une plante dangereuse dont toutes les parties sont toxiques (présence d'hétérosides cardiotoniques), dont l'ingestion d'une simple feuille peut s'avérer mortelle pour un enfant ou même un adulte ? Prudence devant l'éclatante beauté de certaines plantes, au parfum attirant, qui dissimulent un véritable danger !

La maison des HORN siège au pied d'un carrefour en patte d'oie, avec la route goudronnée menant jusqu'à la mine, et deux « rues ». Ces rues de terre sont souvent ravinées par les pluies, et le passage répété des voitures creuse des ornières. La branche de droite grimpe fort vers le sommet de la colline, longeant au passage la maison (n° 30) du colonel BENOIST, gérant du service du personnel, devenue celle de l'ingénieur du fond Mr BOUHTOURI. Restée longtemps inoccupée, la mission de géologues russes y a demeuré ; ensuite de 1975 à 1982, la famille CASTILLO a pris la relève. Jean-Michel Castillo, ingénieur traitement, s’occupait du laboratoire et de la laverie à Timkit. Son épouse, Maryse, a été la dernière institutrice de l’école européenne. Du même côté, fait  suite la villa n° 16 du docteur GORCE (ou de son prédécesseur MANDRYKA, de ses successeurs l'ingénieur du fond CARLINI et Jean-Marie DECAILLOZ) dominant le quartier de l'école. La suivante n° 14 est de l'autre côté de la route, celle de l'ingénieur du jour AZAM (du géomètre WEISE, de l'ingénieur du fond LAERIFI), et plus loin le cercle des ingénieurs encadré par un mini golf, pour gagner le plateau de la chapelle et des sports piscine-tennis-basket (point de départ de la piste vers BOU AZZER et son château d'eau).

1CERCLE_DES_INGENIEURS_DE_BOUTAZOULT

© Photo J-Y Tramoy

Cette colline domine tous les sites du village de Bou Tazoult, face à la mine, au bordj, le lieu idéal de ralliement. La petite cloche de la chapelle appelle à la messe du dimanche. La piscine est le théâtre de jeux aquatiques autant pour les enfants que pour les adultes désireux de se rafraîchir. Le grand plongeoir sert parfois de bizutage à ceux qui ne savent pas nager, tandis que les autres créent des figures sur les petits plongeoirs. Plus loin, les tennismen disputent des parties acharnées, avant que les basketteurs ne les remplacent dans la soirée. Du haut de cette colline les toits argentés brillent de mille feux sous le soleil.

La troisième rue, démarrant entre les deux autres, monte progressivement entre les maisons SABATIE (puis REINA) et MAUREL pour déboucher sur une placette occupée par plusieurs maisons. Une maison double siège au bas de la place face à la montée. Elle a connu plusieurs occupants dans le premier logement (SOBSAC, POMARES, TORREGROSSA, PRIVAT) et dans le deuxième logement (DRIESEN et ses énormes chiens bergers allemands, puis Paul CAPEL).

A gauche, deux maisons jumelées ayant abrité nombre de familles dont les DECLERQ avant de déménager dans les grandes préfabriquées près de l'école, les PEREZ, l'équipe du BRPM, GIRARDEAU, MOULAY SAÏD (côté route, N°3a par les familles BALDI, BOISSET, RONECK, BOUHRIK ; côté escalier N°3b : REGGIANI, PAWLAK, ESPINOSA, TARDELLI,), en face deux autres dont nous connaissons bien les occupants maintenant : la famille DECAILLOZ et la famille WOJCIEKOWSKI (laquelle y a logé peu de temps avant son départ définitif, précédée ou suivie de GRUEY, ARRIBAT, BONNIN, SERVERA, VERONESE.). En bas à droite, une maison dont j'ignore le nom des habitants. A l'arrière de la maison DECAILLOZ, la rue se sépare en fourche, dont la branche du haut atteint un plateau recevant la longue volée d'escaliers descendant de la chapelle. A droite la grande villa n° 9, dite des COTTIN, qui a été la première école de BOU TAZOULT dirigée par Mr LAMANDA en 1951. Le père NORBERT y disposait d'une chambre avant la construction de sa petite villa particulière près de la route goudronnée. Dans le reste de cette villa logeait la famille SAULAIS à laquelle ont succédé les COTTIN (travaillant à la laverie). Après leur départ les maçons murent le bâtiment pour le transformer en entrepôt de meubles.

1COTTIN_WOJCIEKOWSKY_DECAILLOZ

© Photo J-Y Tramoy  Sous la protection de la Chapelle Sainte-Barbe

A gauche au pied de l’escalier menant à la chapelle, une villa d’ingénieur N°11 (construite initialement pour le premier ingénieur du fond Mr LISTEROVITCH appelé de son prénom Georges, puis occupée en 1951 par la famille TRAMOY, ensuite par l'ingénieur du jour JAN, plus tard par l'ingénieur du fond CRUNCHANT)

1TRAMOY_MOQUAIS

 © Photo J-Y Tramoy  Première maison Tramoy

La branche de gauche glisse vers le vallon ombragé où se cache (à droite) une maison sous des arbres fruitiers, discrète au point de la croire inoccupée (successivement : DRIESEN, MOCQUAIS, DEISTER, DRAÏ Brahim), puis la rue continue jusqu'à la zone de la cantine en passant devant la maison de DEISTER, (initialement celle de la famille VAUTRIN-JUIF). La branche supérieure passe sous la deuxième maison de la villa d’ingénieur N°16 construite pour l'ingénieur du jour PELISSIER, puis occupée par RIMETTE, TRAMOY, GODICHET, et dessert le bloc n° 07 de maisons jumelées (construites entre 1947-1950 pour LAUZE et POGUENNEC père, puis SABATIE, BRISMEE et GAGNEUX), longe une rangée de garages, et atteint la maison BERARDI avant d'arriver au croisement de la route montant à droite vers la maison TRAMOY, descendant à gauche vers la cantine en longeant un autre bloc de maisons jumelées (LITVINOV et TEYSSIER, puis GONZALES), tandis qu'en face se tient la maison de Roch-Louis et Agnès ROMANO, directeur et enseignants de l'école marocaine, avec leur fils Jean-Louis.

Artificiellement, nous posons une frontière à cet endroit pour délimiter ce deuxième quartier de BOU TAZOULT, qui comprend les commerces regroupés autour du bloc cinéma-salle de spectacle, cantine (quelques chambres dont se souviennent certains stagiaires), épiceries, usine à glace, et cercle des ouvriers.

1BRISMEE_CHATEAUDEAU

© Photo J-Y Tramoy Sous le chateau d'eau de Bou Azzer, une vue d'ensemble avec le toit de la première maison Tramoy, la maison Moquais juste en dessous, la deuxième maison Tramoy à droite et l'enfilade Brismée, Sabatier.

En repartant de la cantine vers la maison HORN, la route goudronnée sépare quelques maisons à gauche de la rangée de garages et de terrains dédiés au foot ou aux boules, et aménagés plus tard en multisports (tennis, basket avec gradins assis).

1COTTIN_TRAMOY

© Photo J-Y Tramoy Le toit de la maison Cottin, celle des Decailloz et Wojciekowsky, et le bloc Cantine-Cinéma.    

Face à l'épicerie d'Allal ABOU LAMER, la première maison, construite sur deux niveaux, abrite deux familles. L'épicier Allal occupe les pièces du rez-de-chaussée. Ensuite une deuxième maison identique dont la famille de Marie-Paule PEREZ, notre camarade de classe, occupe l'étage tandis que Mr DAVIGNY occupe le rez-de-chaussée, avant de perdre la vie dans l'accident de la mine à Timkkit en 1959 ou 1960. Un événement qui affecte beaucoup la population.

Plus loin deux célibataires, dont Mr ENNOUCHI travaillant à la bascule, habitent dans une maisonnette de quatre chambres. Suivent deux autres villas où vivent la famille MAUREL, et le père NORBERT. Nous voici de retour à la maison HORN, point de départ du quartier.

Que les lecteurs n'hésitent pas à faire vivre ce village au travers de leurs interventions et même à raconter quelques anecdotes quelle qu'en soit l'époque.

Comme me le confiaient Joseline et Jean-Marie, chacune de ces maisons édifiées progressivement autour du noyau original de « la place de France » a une histoire, celle de ses occupants successifs, ces « glorieux occupants », comme j'aurais tendance à les surnommer. Ils ont tissé à tour de rôle la toile de la vie professionnelle, familiale, scolaire dans ce bled, modelé des relations interethniques, internationales, avant d'essaimer dans le monde entier. Pas plus ni moins que ceux d'OUGGOUG, de BOU AZZER, de TIGHERMIT, … Parler, témoigner, c'est donner des nouvelles des anciens, de leurs enfants et petits enfants, c'est marquer leur passage et ne pas les abandonner dans l'ombre de l'oubli.  Ils ont vécu, travaillé là, ils existent encore, comme nous qui avons, depuis, tracé un sillon dans notre nouvelle région. Un jour peut-être, un écrivain rongé par l'envie, saura prendre sa plume pour transcrire quelques pages de témoignage sur la biographie de certains iminiens. Les reportages, surtout photographiques, de Martine MOULINOU et de Jean-Marie DECAILLOZ, se veulent un début et méritent un prolongement sur ce qui fut la naissance d'une communauté riche, riche d'expériences.

Gardons quelques forces pour la suite du reportage, vers le village marocain et le théâtre de la mine. Au prochain épisode, toujours écrit à plusieurs mains, … et plusieurs cerveaux. Que ceux qui se sentent concernés n'hésitent pas à se joindre à nous. Croyez-moi, certains en gardent sous le coude ! L'école marocaine, initiée par la famille ROMANO ; le village, la centrale électrique, le carreau de la mine, la descenderie, les bureaux, l'infirmerie, … autant d'éléments que je connais moins bien et qui méritent le reportage.

MERCI À JEAN-YVES AINSI QU'À TOUS CEUX QU'IL A ENCOURAGÉ À PARTICIPER AU RECUEIL DES SOUVENIRS. CERTAINS NOMS N'ÉTAIENT PAS ENCORE APPARU SUR LE BLOG. NOUS LEUR DEVIONS L'ÉVOCATION DE LEUR PASSAGE PARMI LES ANCIENS DU VILLAGE. NOUS SERIONS HEUREUX DE RENOUER DES LIENS AVEC CES FAMILLES.

Publicité
Commentaires
T
Bonjour Ginette Brochot. Merci pour tous ces souvenirs partagés. Si tu disposes de photos, de documents ou de récits de souvenirs, je peux les publier sur le blog. Ainsi ceux qui ont connu ta famille et tes voisins pourront retrouver d'autres souvenirs et te les communiquer à leur tour. Tu peux écrire par le lien "contactez l'auteur" en haut et à gauche de la page. A bientôt
Répondre
G
Nous avons habité l'une des villas avec pour voisins les Sanchez, Mouna et Monsieur Moquais ou Moulinot, je ne sais plus. Les dames, nos mères, se teignaient les cheveux en noir avec de la poudre provenant des thuyas. Le grand Kacem (Abdelkader)Tabouzit vivait chez sa mère et était copain avec tout le monde. Il y avait un superbe abricotier dans le jardin, des thuyas, et les rues étaient bordées d'eucalyptus. Bien sûr que nous avons connu le père Norbert! Mon père était chef électricien (Brochot). Le bus nous emmenait au lycée de Marrakech via le Tichka où nous étions bien sûr pensionnaires. 1962-63. Nous avons appris l'assassinat de JF Kennedy en nov 63 alors que nous étions lycéens. Je retournerait à Imini via l'aéroport de Ouarzazate un jour, pour éviter à tout prix les virages de l'Atlas.
Répondre
V
nous habitions en face de la cantine mon nom commence par T..................
Répondre
D
j'ai fait autre chose, vu plus de gens, en fait cela ne m'a pas vraiment ennuyée cette déconnexion, on se rend compte que l'on est trop "tributaire" de ça ; juste embêtée parce que je n'ai pas pu envoyer ce que j'avais écrit, pas fini du reste, alors une première partie peut être ; mais du quatre ou six mains, cela aurait m'aurait beaucoup aidée ...
Répondre
B
Ca va nous arriver à tous un jour : la perte du réseau internet. Aurons-nous la force de le supporter, maintenant que nous y sommes suspendus quotidiennement ? Alors je comprends que notre copine Danka, maintenant plus disponible, soit déroutée par l'inoccupation soudaine, une forme de chômage forcé.Vas à la pêche de ci-de-là, tu resteras en contact avec le circuit. Et en plus ça te laisse le temps de réfléchir, de préparer tes écrits. Nous t'attendons.
Répondre
Publicité
BOUTAZOULT IMINI TIMKKIT 2008
  • UN BLOG POUR LES IMINIENNES ET IMINIENS ORIGINAIRES DE BOUTAZOULT ET D’OUGGOUG SAINTE-BARBE DESIRANT : FAVORISER LEURS RENCONTRES, PROMOUVOIR L’ÉCONOMIE LOCALE ET UN MUSÉE DE LA MINE, MOTIVER LA JEUNESSE & L'ECOLE DE TIMKKIT
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité